Militaire ? Je l'ai été. C'est là qu'un soir j'ai eu la révélation de ma bisexualité. Car désolé, les gars mais je ne suis pas uniquement homo, je suis bisexuel, marié avec enfants. Mais cela ne m'empêche pas de pomper des bites dès que je le peux et parfois même en compagnie de ma femme à qui je fais faire la pute et qui aime cela. Je venais donc d'arriver au camp. La grande majorité des gars étaient en opé et ne restaient que quelques sentinelles. Un adjudant me dirige vers la chambrée et m'explique ce que je devais savoir. Pendant qu'il parlait, je me changeais et mettais ma tenue. J'étais en slip et lui tournais le dos. | |||||
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Je sens soudain quelque
chose entre mes cuisses, je sursaute et me retourne : il tenait à la
main une espèce de stick qu'il appuis plus fortement sur ma queue. Je
le regarde interloqué : "Baisse ton slip, bleue bite, que je voie à
quoi tu ressembles !" Je reste immobile quand un soudain un coup de
stick sur les fesses me fait sursauter. "Je t'ai donné un ordre, et
je veux être obéi !" Pétrifié, j'obéis. Mon slip glisse le long de mes
jambes et je lui montre ma bite molle. "C'est pas une bite que t'as,
on dirait un vermicelle et t'as même pas de couilles ! ". Cette insulte
me fait rougir et je baisse la tête pour constater qu'effectivement
je ne suis pas au mieux de ma forme.
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Il me soulève la bite avec le stick, glisse autour, tâte les couilles et d'un coup me dit : "Approche-toi de moi... Là, encore un peu... A genoux maintenant !" Subjugué, j'obéis et me trouve à genoux devant lui. Du bout du stick, il me tapote maintenant le dos, pendant que son autre main commence à défaire les boutons de sa braguette ! Réalisant d'un coup, je me relève d'un bond et veux m'en aller mais le slip que j'avais baissé tout à l'heure bloque mes jambes et je m'étale comme une merde. Aplati, face contre terre, je sens que du bout de sa rangers il écarte un peu mes fesses et appuie sur les couilles. Quant je commence à me plaindre sérieusement de la douleur qu'il m'inflige, il y a déjà un bon bout de temps qu'il sait, du moins aujourd'hui en le racontant est ce que je pense, que je ne me rebifferai pas, car sinon je me serais certainement débrouillé pour me sortir de cette situation. | |||||
D'un ton sec il m'ordonne de me relever et d'enlever totalement mon slip. J'obéis. Totalement à poil, il m'oblige à m'agenouiller devant lui et, comme dans un songe j'entends " Sors ma bite, tu vas voir ce qu'est un vrai mec" Lorsque j'ai sorti son engin je constate qu'effectivement il est de bel taille d'autant qu'il ne bande pas encore. L'odeur qui en émane est enivrante et je sens ma bite se redresser lentement. Il s'en rend compte immédiatement et à partir de ce moment là j'ai certainement signé mon contrat d'obéissance à es désirs sexuels, pour toute la durée du séjour que nous passeront ensemble. |
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"Branles-moi, pédé !" Là encore l'insulte me fait sursauter mais je m'empresse de le prendre en main. Jamais cela ne m'était arrivé, j'avais déjà nettoyé des chattes de putes pleines de foutre (je pourrais vous raconter cela si vous voulez) mais tenir une bite dans ma main, la branler, jamais je ne l'avais fait. J'ai un plaisir trouble à voir l'objet gonfler et quand l'on m'ordonne de sucer mon visage s'approche sans rechigner du chibre. | |||||
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Je l'engloutis, pendant
que des effluves viennent caresser mes narines. Je suce, suce, suce
et instinctivement ma main glisse vers les couilles. Je les caresse,
je le sens gonfler encore plus... et soudain il explose m'envoyant des
longues giclées de foutre au plus profond de ma gorge... je sursaute,
faillis dégueuler, mais finalement j'en avale le maximum... j'étais
dans un état second ! Quand avalant la dernière goutte je redescends
sur terre c'est pour constater qu'il y avait un autre mec dans la pièce
! Depuis combien de temps était il là ? Je ne pourrais le dire, mais
à la façon dont il bandait cela devait faire un moment ! Et l'adjudant
n'eut pas besoin de lui dire quoique ce soit qu'il présentait déjà son
braquemart à ma bouche.....
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Sucker (Dept 83)